Un déclic pour l’énergie : l’exemple de Yanis

Aujourd’hui, on vous propose de découvrir le parcours inspirant de Yanis, un étudiant curieux et passionné qui a trouvé sa voie à l’ISARA, un peu par surprise ! Originaire d’Amplepuis, il s’est d’abord orienté vers un tout autre domaine avant de se laisser convaincre par les témoignages d’élèves lors d’une journée portes ouvertes. Quatre ans plus tard, il suit l’option « Transition énergétique » et ne regrette rien. Il nous raconte son cheminement, ses doutes, ses découvertes, et surtout, la manière dont il s’est épanoui au fil des années à l’école.

Qu’est-ce qui t’a donné envie d’intégrer l’ISARA ?

À l’origine, mon projet professionnel s’orientait plutôt vers la production vidéo que vers l’agronomie. Mais après un échange avec mon professeur de SVT en terminale, qui m’a recommandé l’ISARA, j’ai décidé d’assister aux journées portes ouvertes. Même si je n’étais pas totalement convaincu au départ, j’ai pu discuter avec des étudiants qui m’ont séduit en me présentant toutes les opportunités qu’offre l’école, ainsi que l’excellente ambiance qui y règne.

Quelles étaient tes attentes en rejoignant l’école ? Ont-elles été comblées ?

À vrai dire, je n’avais pas d’attentes particulières. J’attendais de suivre mes premiers cours pour savoir si j’avais fait le bon choix sur Parcoursup. J’ai eu des difficultés en première année, mais c’est vraiment à partir de la deuxième année que j’ai commencé à apprécier mes cours. Aujourd’hui, en quatrième année, je suis totalement passionné, car je peux choisir mes enseignements !

Qu’est-ce qui t’a marqué dans la pédagogie ou les enseignements à l’ISARA ?

L’accompagnement des professeurs est vraiment remarquable. Ils sont disponibles et nous suivent de près tout au long de notre parcours. Nous avons la possibilité de créer d’excellents liens avec eux, et ils restent accessibles même pour des projets futurs.

Peux-tu nous parler d’un projet ou d’un cours qui t’a particulièrement passionné ?

J’adore tous les cours de l’option Transition énergétique. De la compréhension des sciences du nucléaire aux scénarios de transition énergétique, nous avons la chance de rencontrer de nombreux professionnels passionnants qui viennent nous enseigner et nous transmettre leurs connaissances.

Quels stages as-tu réalisés au cours de ton cursus ? En quoi ces expériences ont-elles été enrichissantes pour ton projet professionnel ?

En plus de deux stages réalisés en exploitation agricole, j’ai effectué mon stage de troisième année dans une entreprise suisse spécialisée dans les services par drone. Ma mission principale consistait à contribuer au développement de l’entreprise, notamment dans le secteur agricole, en imaginant de nouveaux services possibles avec les drones – comme, par exemple, le largage de trichogrammes sur les cultures de maïs.
Travailler dans un cadre aussi exceptionnel que les rives du lac Léman a rendu cette expérience encore plus marquante. Ce stage a été très formateur : j’y ai fait mes premières armes en entreprise, rencontré de nombreux acteurs de l’agriculture de précision, appris à piloter des drones et participé concrètement aux prestations proposées. Une expérience riche à tous les niveaux !

L’école t’a-t-elle accompagné dans ta recherche de stage/alternance ?

Oui ! J’ai trouvé mon stage de deuxième année grâce à une offre transmise par ma responsable d’année, et mon alternance m’a également été proposée par Madame Gloanec, via un mail. Nous avons la chance d’avoir de nombreux professeurs qui nous transmettent régulièrement des offres.

L’ISARA, ce n’est pas « juste » une école d’agronomie ou d’agroalimentaire. C’est une école qui ouvre plein de portes, même dans des domaines auxquels on ne pense pas forcément au début.

As-tu participé à des projets associatifs, des événements étudiants ou à des initiatives en lien avec l’agroécologie, l’alimentation ou l’innovation ?

J’ai eu l’opportunité de me rendre au Salon de l’Agriculture avec l’ADEME grâce à l’ISARA. C’était une expérience extrêmement enrichissante dont je garde un excellent souvenir.

10. Quel est ton projet pour l’après ISARA ?

Après l’ISARA, je souhaite accompagner la transition énergétique en développant des projets liés au biométhane et au photovoltaïque. Eh oui, l’ISARA permet aussi de travailler dans le domaine de l’énergie !

Que dirais-tu à un(e) lycéen(ne) ou étudiant(e) qui hésite à rejoindre l’ISARA ?

Je lui conseillerais de bien se renseigner sur toutes les opportunités qu’offre l’ISARA. Ce n’est pas uniquement une école d’agronomie et d’agroalimentaire : elle ouvre des portes vers de nombreux secteurs, parfois insoupçonnés au premier abord.

12. Un mot de la fin pour conclure ton témoignage ?

Si tu es en terminale et que tu ne sais pas encore exactement ce que tu veux faire, ne t’inquiète pas, c’est normal ! Si tu aimes les sciences ou la biologie, je ne peux que te conseiller de rejoindre l’ISARA. Elle m’a ouvert beaucoup de portes, et elle pourrait faire pareil pour toi.