L’intérêt pour la lutte biologique augmente chaque année car nous connaissons de plus en plus les effets néfastes des pesticides chimiques sur la santé, mais aussi sur les écosystèmes. L’un des services les plus importants fournis par la biodiversité est la lutte biologique contre les ravageurs dans les paysages agricoles.
Dans le cadre de son Mémoire de Fin d’études*, Aline MARCASTEL, ingénieure diplômée de l’ISARA-Lyon, a étudié l’évolution du taux de prédation des cultures par leurs ennemis naturels en fonction de l’hétérogénéité des paysages agricoles : diversité des types de cultures et complexité de la forme des parcelles et longueur des bordures.
Pour notre jeune ingénieure, « il est important de trouver des alternatives aux traitements chimiques en trouvant une méthode de lutte biologique qui soit efficace. Et pour cela, j’ai choisi de comprendre les interactions entre les ravageurs et leurs proies en y introduisant la notion « d’écologie du paysage».
Mais qu’est-ce que la lutte biologique ?
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