Rencontre avec Felipe, étudiant brésilien
Felipe ALAM, 24 ans, originaire du Brésil suit le double diplôme à l’Isara avec l’université partenaire l’ESALQ.
Felipe ALAM, 24 ans, originaire du Brésil suit le double diplôme à l’Isara avec l’université partenaire l’ESALQ.
Viktoria est étudiante à l’université de Wageningen aux Pays-Bas. Grâce au programme Eramus+, elle est entrée à l’Isara dans le cadre d’un programme d’échanges.
Entrée en 3e année à l'Isara, Ikram ABDERAHIM est originaire du Maroc et vient d'une école partenaire de l'Isara, l'Ecole des Hautes Etudes de Biotechnologies et de Santé (EHEB) à Casablanca.
Martin étudiant à l’Université pontificale catholique (PUC) du Chili basée à Santiago a rejoint l’Isara dans le cadre d’un programme d’échanges entre l’Isara et son université.
Que vous soyez étudiant-e d’une université partenaire de l’Isara ou non, professionnel-le en recherche d’un complément de formation, francophone ou non, vous trouverez à l’Isara la formation la plus adaptée à votre projet.
Arrivée dans le cadre du programme d’échanges Erasmus+ à l’Isara, Moana a intégré pour un semestre le MSc Agroecolgy.
Clark Halpern, étudiant américain originaire du New Jersey est arrivé début septembre à l’Isara, dans le cadre du double diplôme MSc of Agroecology mis en place en partenariat avec l’Université de Wageningen.
Vingt-deux millions. C’est le nombre d’étudiants supplémentaires que comptera l’Afrique en 2030, selon une analyse démographique du cabinet Paxter, fondé par l’ancien président de la Conférence des grandes écoles (CGE), Pierre Tapie. Ils ne sont que 8 millions aujourd’hui. Les besoins en matière de formations sont réels.
Face à ce constat, l’Isara, en partenariat avec la CITEF, lance un nouvel espace d’échanges entre les établissements d’enseignement supérieur et les acteurs socio-économiques du Nord et du Sud dans les secteurs de l’agriculture, de l’agronomie et de l’agroalimentaire.
Ce nouveau réseau thématique francophone a pour ambition de mettre en œuvre des actions concrètes en faveur du développement, de la coopération inter-universitaire et du renforcement des interactions avec les acteurs professionnels du secteur.
En partenariat avec la CITEF* , l’Isara vient de lancer un réseau Agri-Agro en Afrique. Quels sont ses objectifs ? Pourquoi l’Afrique ?
Avec la CITEF, nous souhaitons créer un nouvel espace d’échanges entre les établissements d’enseignement supérieur et les acteurs socio-économiques du Nord et du Sud dans les secteurs de l’agriculture, de l’agronomie et de l’agroalimentaire.
Au fil de nos rencontres avec nos partenaires africains, nous nous sommes rendus compte que les établissements africains étaient demandeurs à différents niveaux.
Tout d’abord, en matière de professionnalisation des formations, il y a la nécessité de professionnaliser les cursus en apportant un soutien pédagogique, en améliorant l’insertion professionnelle et l’employabilité des diplômés africains dans les secteurs agricoles et alimentaires.
Pour y parvenir, il faut adapter les cursus aux besoins des professionnels et favoriser la proximité entre les partenaires socio-économiques et les établissements de formation.
La mise en place d’un réseau dynamique d’échanges devrait permettre le partage d’expertises techniques, la création de dispositifs pédagogiques innovants.
Nous souhaitons également développer les mobilités d’étudiants (stages, passerelles,…), d’enseignants-chercheurs et personnels techniques,
mettre en place des partenariats internationaux (double-diplômes, semestres d’échanges,…).
Portrait
Avec plus de 20 ans d’expérience en marketing et développement à l’international, Stéphanie Mazier a vécu et travaillé en Europe, dans le secteur de l’agroalimentaire (vins et jambon Serrano) et des startups high-tech.
*CITEF : Conférence Internationale des Formations d'Ingénieurs et des Techniciens d'Expression Française.
Alors que la majorité des élèves de l’Isara en stage ou séjour d’études à l’étranger ont été rapatriés en urgence suite au Covid-19, certains ont décidé de rester dans leur pays d’accueil.
Un ami a fait un Erasmus ici et a eu une très bonne expérience. C’était comme un rêve pour moi de venir étudier et suivre un programme en français. J’ai donc demandé un Erasmus à l’Isara pour un semestre et je l’ai obtenu. C’est un très gros défi pour moi de suivre le programme en français mais je suis motivé.